J’étais sûr que personne — ou presque!— ne connaissait cet album*, et j’avoue ne le connaître moi-même que par une achoise, où, comme l’on dit aujourd’hui, une occasion heureuse: c’était il y a huit ans, dans le magasin Gibert, à Paris, alors que je binoclait les caisses de CDs d’occasion —l’une de ces trouvailles qui font croire aux discophiles qu’un dieu veille à leurs aubaines. Oui! oui! aubaine: import japonais, pas de code-barre (ce qui est tout de même plus élégant!), 50 francs... Compte-tenu du pedigree du bonhomme et du beau dessin de la pochette (blanc et bleu clair en réalité, comme vous le voyez), je n’ai fait ni une ni deux!
* Cet article fait suite à ce message:
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